Street boutures

Un sac en plastique avec une trentaine de tiges de saule, peuplier et sureau, à bouturer

“La ville, cet océan de béton dans lequel je vis, ou plutôt je survis”

J’ai longtemps pensé que la ville était un espace stérile

Signe avant-coureur de la décroissance, certains espaces des villes sont un peu délaissés (et tant mieux)

La nature a une ouverture …

J’ai pratiqué les jardins partagés, mais aujourd’hui je joue plutôt les justiciers masqués

Vous connaissez le principe des boutures ?

Un morceau d’arbre peut reprendre et donner naissance à nouvel arbre

Alors, par plaisir et pour l’expérimentation, je me suis mis à planter des boutures sur les chemins que je fréquente

300, 400 déjà

Saule, peuplier, cassis, sureau …

Y en a peut-être 5 qui tiendront, c’est pas grave

Potentiellement 5 arbres ou arbustes, avec tous leurs bénéfices, c’est toujours ça d’offert à la ville

Bonus : j’en mets le long des berges du Drac et de l’Isère en espérant que les racines contribueront à stabiliser la terre Activez pour voir l’image en plus grand.